18 avril 2015
Un homme dans la poche.
J'ai commencé le bouquin d'Aurélie Filippetti : "Un homme dans la poche".
Et je l'ai abandonné.
C'est lourd.
Lourd comme un jour sans chocolat.
Tout est dit dès le début : "J'avais en moi une force, là, au milieu du ventre qui encrochetait mes entrailles comme un hameçon de pêcheur"
Aurélie, franchement, est-ce bien raisonnable ?
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