Ce qui m’intéresse dans l’autofiction -au-delà même du terme qui est discutable-, c’est d’abord la réhabilitation du personnage, après la grande lessive opérée par le Nouveau Roman. Ensuite, la falsification est moindre par rapport à l’autobiographie,...

Ce qui m’intéresse dans l’autofiction -au-delà même du terme qui est discutable-, c’est d’abord la réhabilitation du personnage, après la grande lessive opérée par le Nouveau Roman. Ensuite, la falsification est moindre par rapport à l’autobiographie,...

Les années est de loin le plus mauvais livre d'Annie Ernaux.