6 mai 2012
Présidentielles
Ce dimanche, vers vingt heures, il est fort probable que tout événement de dimension internationale soit occulté par une certaine frénésie journalistique. Hier a été une journée calme, où l'on a vu les médias évoquer le drame de Furiani, alors qu'ils ne l'auraient sans doute pas fait avec autant d'égards, si on les avait autorisés à organiser des débats ou à livrer des points de vue sur les deux candidats. Mais enfin, c'est ce soir et gageons que l'événement de ce crépuscule sera encore théâtralisé selon une vieille tradition monarchique dont le pays se prévaut largement.
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